jeudi 28 avril 2011

Enfant soldat…


 Si tu vas dans la guerre, si tu retournes la bas
Calmes leurs pleurs, dis leurs la vérité

Pas de médailles, ni de fleurs sur moi
La bas on meurs sans un «  pourquoi ».

Je ne vit plus le soleil, entre haine et rancune,
La vie m’a lâché et le ciel m’a pris

terre, tu me manques et vous mes frères aussi
Dans cette nuit noire qui jamais n'en finit 

Je croyais c’était un jeux, un sourire éternel 
Et je me suis perdu dans le bruit des sirènes 

Pourquoi  m’ont-ils tué ?

Enfant soldat, retournes la bas
raconte leurs toute la vérité

Enfant soldat, une justice je te demande,
Retournes la bas, reprend ma vie, reprend mes jours
Et renaît pour moi.

Angelo verdi
14-avril-2011

vendredi 22 avril 2011

ce soir je post un poème pour mes lecteurs italiens...


Tra le bellezze passate fra le mie braccia
senza vederle
e quelle che i musei mi hanno fatto amare
durante questi anni, c’é un immensità,
e non é solo armonia,
ma si tratta dell’avventura dello sguardo,
con le sue ombre,i suoi colori,
gli incidenti di controluce,
i chiaroscuro del giorno.
Tutte meraviglie di apparenze
aperte o chiuse come la vita di un uomo.

La chiave per penetrarle non si trova nei libbri,
ne nella natura,
ma lontano dietro i nostri stessi occhi,
in quel giardino dove un giorno l’infanzia
si é seduta accanto a noi,
col batticuore, per ascoltare il mare
è li che si deve andare
e che bisogna rendere con il mare
l’infinito sale dell’amore.

Angelo verdi

mercredi 20 avril 2011

le puzzle

J'ai rencontré quelqu’un qui écrit bien et je suis honoré de le publier sur mon blog, merci Stan.

le puzzle
Comment l'expliquer, c'est un peu comme si tout à coup les pièces du puzzle avaient retrouvé leur emplacement natal, logique, que tout s'imbrique aisément en des coulisses invisibles et paraffinées, tel le tenon dans la mortaise. Chaque pièce n'a qu'une place. Tout était finalement peut-être trop près, sous mon nez, dans mon entourage, mon quotidien, il m'aura fallut la moitié d'une vie pour que j'arrive à prendre le recul nécessaire et que l'évidence transparaisse. Ne plus jouer à être, mais être vraiment, quel qu'en soit le coût. Et cela, personne ne peut le faire à votre place.
La liberté fait peur, et l'on s'entrave afin de l'aliéner pour qu'elle ne soit plus qu'un esclave soumis. Je me suis trop occupé, préoccupé, diverti, abruti, assommé pour n'avoir pas à me retrouver en face de moi-même. La peur, toujours la peur, de ne pas être à la hauteur, de tenter, de chuter, de concourir, de tirer des conclusions, car on a encore le temps de voir, demain.
Mais il y a un moment ou demain devient aujourd'hui.

J'avais pourtant un entrainement imparable, j'aurais pu tenir encore pendant des siècles. Heureusement, il y a le sens de l'observation, bien difficile à étourdir. La peur de me mouvoir au travers de la vie en tirant un boulet à mon pied aura été plus puissante que la peur tout court.

Si je dois partir demain, je n'aurai besoin de rien. Tout est dans ma tête.
"Transbahutez vos idées comme de la drogue...
Tu risques rien à la frontière
Rien dans les mains

Rien dans les poches
Tout dans la tronche!"


Vous êtes tous là, en moi, je n'ai plus besoin d'antisèches, j'irai au bout du couloir, seul, sans regarder mes pieds, sans cette boule qui croit à mesure que les mètres rétrécissent, je donnerai tout ce que j'ai, et je ressortirai de la classe plus léger que la plume, comme survolant la pesanteur de l'existence.

Ce qui me fait sourire, car quelque peu paradoxal, c'est de réaliser que cette peur tant reprochée se trouve finalement être le moteur grâce auquel j'aurai pu parcourir la distance jusqu'à moi-même. J'ai appris à séparer le grain de l'ivraie, tant je craignais de perdre quelque chose que je sentais en moi comme un présent inné. Ce fut ce partage difficile, ajouté à un travail de sape extrinsèque, qui aura dévoré mes années jusque sur ma couche. Qu'importe, ce qui compte est ce déclic libérateur, et ma rancune légendaire s'en trouve même curieusement ajournée, peut-être par le fait que oui, sans toutes les pièces, ce puzzle serait alors incomplet, votre injustice ayant compté pour beaucoup.
Personne n'aura réussi à me voler mes rêves.

"La réussite n'est pas une preuve de liberté, l'échec oui. 
Il est urgent de ne pas être prudent."

Il me reste encore de nombreuses pièces à assembler, mais je les ai, là, au creux des mains.

Je n'ai plus peur des imperfections.
Je n'ai plus peur de vous.
Je n'ai plus peur de me tromper.
Je n'ai plus peur de tomber.
Je n'ai même plus peur de vieillir.

mardi 19 avril 2011

Il parait que l'on est nostalgique à partir de 40 ans...

Pourquoi la nostalgie a une mauvaise réputation? pourquoi la refoule t'on? est-ce parce qu'elle reflète souvent le passé? Alors comment ce fait t'il que "Radio nostalgie" a un énorme capital d'audience?
Elle fait surgir le passé, dans le bon et dans le mauvais, alors dans certains cas ça ne nous arrange pas, dans d'autre elle nous convient! Mais si vous me permettez une réflexion je dirais que:  Ne pas bien la vivre c'est nous faire du mal, elle fait partie de cet énorme capital mental que nous possédons, la refouler équivaut à se faire volontairement des blessures et troubler, par la même occasion, d'autres sentiments que nous renfermons. souvenez vous que nous utilisons à peine 30% des capacités de notre cerveau, alors si on laissait faire la nature?


P.S.
mon logiciel de correction se nomme:Cathy ;)

samedi 16 avril 2011

je suis à la recherche de...

Cherches un électricien pour rétablir le courant entre les gens qui ne se parlent plus.. Un opticien pour changer le regard des gens.... Un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages.... Un maçon pour bâtir la paix.... Et un professeur de maths pour nous ré-apprendre à compter les uns sur les autres!!!!...


merci à mon amie Nathalie G.

vendredi 15 avril 2011

ce n’est pas l'homme qui prend la musique mais la musique qui prend l'homme

A l’écoute de certaines musiques de jazz, chansons d’amour  ou sur certain slow, j’entend souvent : on s’endort, ou alors : c’est triste.
Une musique n’est pas triste, mais triste est plutôt le moment de la personne qui l’écoute, la musique peux faire surgir des peurs, des malheurs, des angoisse ou simplement de la nostalgie. C’est l’état dans lequel nous nous trouvons qui donne le ton et fait vibrer notre propre ressenti.
En fait la musique a « bon dos » 

mercredi 6 avril 2011

si tu rêve de choses que tu n'as jamais eu, il faudra faire des choses que tu n'a jamais fais

Dans la vie, on cumule une multitude de chose inutiles, pensant qu’un jour on en aura besoin, On fait des économies, car on pense de manquer d’argent un jour, on conserve des vêtements, des chaussures, meubles et autre ustensiles qu’on ne se sert pas depuis longtemps. A l’intérieur de nous même, nous avons l’habitude de garder des reproches, des tristesses, des angoisses, des peurs etc. En agissant ainsi nous allons contre la prospérité. Il est nécessaire de garder de la place afin que des nouvelles choses puissent entrer dans nos vies, il est nécessaire de se défaire de toutes ces choses inutiles afin de faire de la place pour que la prospérité arrive. Un vieux dicton dit : si tu désire des choses que tu n’as jamais eues il faut que tu fasses des choses que tu n’as jamais faites. Ce vide que nous ferons servira d’aimant à accueillir des nouvelles choses. Tant que nous nous chargeons de vieux sentiment et vivons dans le passé il n y auras pas de place pour des nouvelles opportunités. Les biens doivent circuler, faites le vide, nettoyez les tiroirs, les armoires, les chambres et surtout votre tête de choses inutiles, enlevez ce que vous n’utilisez plus. Ce comportement de cumuler, stocker, entasser, enchaîne nos vies, ce n’est pas tant les choses elles mêmes qui vous enchainent, mais l’action de conserver. Lorsque on conserve on considère la possibilité de manque, de carence, de pénuries, on croit que demain on pourrais manquer de vivres. Agissant ainsi, nous envoyons deux messages à notre cerveau : Le manque de confiance au lendemain, et le retranchement dans le passé Il faut se défaire de tout ce qui a perdu de la brillance, de la luminosité et laisser entrer le nouveau dans nos maisons, dans nos vies.

mardi 5 avril 2011

selon vous laurent bagbo est-il un imbecille? pensez vous(comme on veux nous faire croire)que sa dévise est:j'y suis et j-y reste?

Sincèrement je ne peux imaginer qu'un monsieur(qui plus est président de la république)ai décidé de mourir en martyre.
Je ne sais pourquoi, mais les medias nous donnent qu'un seul son de cloche, pourquoi on n'entend jamais les motivations ainsi que les raisons qui poussent un homme comme lui à vouloir à tout prix rester à son poste.

transitions...

Je pense que dans la vie que l'on soit journaliste, cinéaste, musicien, photographe, conférencier ou simplement vendeur, il est important de respecter les transitions


On ne peux pas mixer des musiques, rédiger des articles, enchaîner des chansons, sans un fil logique qui sert de liaison,  Le long de mes soirée, lorsque je suis au piano, les gens me demandent des chansons, hormis le fait que parfois ils sont imprévisible, je répond toujours que je vais jouer leur morceau mais au bon moment, souvent ils ne comprennent pas car ils le voudrais immédiatement.
Franchement comment pourrai-je jouer un chacha après un bon jazz? comment un journaliste pourrai parler de guerre, de morts et blessés et enchaîner avec le vacances en camping de monsieur Dupont? ou un photographe présenter une photo de Nu et enchaîner avec les fourmis rouges en Amazonie?
Le seul moyens c'est la: TRANSITION, sans le vouloir nous utilisons tous cette méthode dans la vie courante, dans nos discours, dans nos histoires drôles et même dans nos actes sexuels.
qu'en pensez vous???