jeudi 28 juillet 2011

différences

Regardez comme c'est compliqué une femme, alors que nous un simple bouton et tout s'allume...

samedi 23 juillet 2011

peurs



peur de te rencontrer, de t'écouter,
de te comprendre
de te ressembler et d'instinct te suivre
dans le plus profond des "pourquoi"
dans le grand désert qui est présent
dans le doute qu'on revienne à la fiction

sincère jusqu'au bout, à ne pas être crû
tellement  vrais, à ne pas avoir plu
lorsque le désordre est une compagnie
la solitude est une maladie
alors que vivre est une vraie chanson

peur que tu ai encore raison
que tout ceux qui est gris ne sera jamais bleu
peur qu'une caresse parfois te fait trembler

le cerfs volant va, est la, c'est toi
si haut contre le ciel et puis en bas,
la médiocrité ne le concerne pas

plus de colère que regrets
peut on aimer plus que ça
l'absence ne justifie pas tes attaques
et puis de toute cette liberté
un cerfs volant ne sait que faire
si l'impatience cassera ce fil

peur que ma poésie ne revienne pas
tout le courage toute l'ironie,
qui essayera de boire à ton verre?

le cerfs volant va, il est la, c'est toi
si haut contre le ciel et puis en bas,
la médiocrité ne t'atteint pas...


AngeloVerdi-29-12-2007

mercredi 20 juillet 2011


Que vaut la mort d’un soldat français face aux journalistes ?
Pendant que les otages libérés faisaient leur cirque à France Télévision et que Mr. Pfimlin annonçait « Je suis heureux de nous voir enfin au complet »…
Sur les Champs Elysées, passait le corps de notre Camarade du 1° RCP Cyrille Hugodot, tué au combat en Afghanistan.
C'est la première fois que cette marque de respect était rendue à un soldat tué au combat.
Avez-vous vu cette retransmission sur FR 3 ? Sur A2 ? TF1 ?...
Bien sûr que non ils étaient bien trop occupés à faire la fête... Et puis, ça ne les intéressait pas vraiment....
Quand donnera-t-on un grand coup de balai dans cette termitière ou l'honnêteté intellectuelle est un concept ignoré ?
Il est malheureusement clair -c'est un journaliste qui l'écrit- que le poids médiatique d'un journaliste est bien supérieur à celui d'un simple parachutiste. Il n'y a pas de quoi être fier !....
Mais quand les journalistes sauront-ils ce qu'est la décence?
- D'un côté, un individu ment devant tout le monde....
Ghesquière fera avec son acolyte, qui lui sert de nounou, un bouquin qui expliquera pourquoi les talibans ne sont pas de si mauvais bougres et qui se vendra très bien parce que la télévision fera un gros battage et que beaucoup de français seront assez bêtes pour l'acheter...
- De l'autre, une famille pleure pour l’un des siens qui a donné sa vie pour la patrie et qu’une petite fille est devenue pupille de la nation…
Voici un message de circonstance qui reflète notre pensée de soldat, rédigé par le Général (2°S) Allamand :
Ce texte m’a été transmis par l’un de mes contacts parachutistes.
     Bonsoir
     Maintenant que les deux otages français sont libérés (je veux parler vous l'avez compris, des deux seuls dont la presse parle), on peut enfin poser certaines questions... Notamment celle de savoir si les autorités militaires les avaient incités à ne pas se rendre là où ils ont voulu aller...     Je fais partie de ceux qui souhaiteraient que la presse fasse, pour nos soldats qui tombent "pour la France", ne serait-ce que le dixième de ce qu'elle a fait pour GHESQUIERE et TAPONIER... D'autant plus que certains d'entre eux sont probablement tombés en "travaillant" pour la libération des deux journalistes de FR3, et qued'autres vont peut-être tomber sous les coups de terroristes relâchés en contre partie de leur libération...     Dans ce registre je vous transmets ci-dessous, avec l'accord de l'auteur, le message adressé par mon camarade le Général Marc ALLAMAND au journaliste Dominique MERCHET, dont le Blog "Secret Défense" faitréférence, depuis quelque temps...     Philippe Chatenoud
     Monsieur Merchet,    
     Moi même, général en 2eme section, j'ai ressenti comme beaucoup de mes camarades ce sentiment du "deux poids deux mesures"Je me réjouis, comme tout le monde, de la libération de nos deux compatriotes, mais avouez que la profession en a fait beaucoup, beaucoup trop et que nous aimerions qu'elle en fasse, ne serait-ce que le dixième, chaque fois qu'un de nos soldats rentre dans un cercueil. Je vous félicite de votre prise de position courageuse pour déplorer cette différence de traitement et constate que vous êtes un des rares journalistes à honorer nos morts sur votre site. De la même façon, je vous félicite d'avoir contredit l'affirmation d'Hervé Ghesquière selon laquelle personne ne leur aurait rien dit.     Hervé Ghesquière menteur ? Voilà qui ternit l'image de héros qu'il a su se forger dès son arrivée aux yeux des français et bien sûr des journalistes présents sur le plateau de FR3 ou sur le tarmac de Villacoublay. J'ai même entendu l'un d'entre eux dire qu'ils avaient redonné leur fierté aux journalistes.     Bien sûr, ceux-ci doivent prendre des risques, comme tous ceux qui exercent leur métier dans des contrées difficiles. Mais aucun journaliste n'a relevé ce qui m'a frappé, moi, dans les paroles des deux ex otages. « Dès le départ, nous savions que nous ne risquions pas nos vies ».     S'ils avaient cette certitude, c'est qu'ils savaient que tout serait fait pour les libérer et que leur vie valait de l'argent aux yeux des  ravisseurs. Cela donne une autre perception du courage et de la prise de risque, même s'ils ont passé un an et demi entre quatre murs, ce qui n'est pas rien, mais pourra leur rapporter gros. Vous abordez cette question de la rançon. J'espère simplement que s'il y a eu versement d'argent, celui-ci ne sera pas transformé en IED ou autre munition semant la mort dans nos rangs. Je serais curieux de savoir si cette idée a seulement effleuré l'esprit de nos deux héros.     Oui, nous sommes dans un cercle vicieux: la France fait tout pour libérer ses otages et cette assurance, pousse les gens à prendre le risque d'être otage. Finalement, les vrais héros ne sont sans doute pas ceux qui sont le plus médiatisés.     Général (2S) Marc Allamand

jeudi 7 juillet 2011

Le rythme

Le rythme
Le rythme est le cœur de la vie, il n y à pas de vie sans rythme…avant de nous lancer à apprendre, on devrais tous écouter la nature afin d’être guidés par son rythme, par sa précision. Nous sommes partie intégrante de ce phrasé infini qui est l’écoulement du temps. Il y à du rythme dans le vol d’oiseaux, dans le son de notre voix, dans nos pas, dans tous les cycles de nos journées, dans nos actes, dans notre corps. Le métronome n’est qu’un insulte envers l’innocence de la nature est ses innombrable percussions. Le plus bel hommage rendu au rythme est celui de la musique.

mardi 5 juillet 2011

place des réseaux

Eric Messeca


« Vos voisins ont du talent et des réseaux »… Comment en profiter ?

Alors qu’on peine parfois à se créer un réseau relationnel utile, on ne s’aperçoit même pas que les bons contacts sont juste à côté… Le Pôle des réseaux de proximité de Paris rassemble les entrepreneurs de sa rue, son quartier ou arrondissement, mais pas plus loin ! Tous les avantages de cette solution de groupement facile à reproduire à côté de chez vous.


Éric Messeca, consultant en stratégie digitale étudie le principe des clusters, des unités urbaines d’activités lorsqu’il se rend compte qu’il ne connaît pas même ses plus proches voisins du 11e arrondissement. Sur un principe plus poussé et plus pro que la fête des voisins, il a l’idée de proposer un réseau informel, un Pôle de réseaux de proximité dans Paris. 

D’après la logique de création de cluster, un groupement de professionnels est véritablement productif lorsque ses membres se trouvent à moins de 2 heures de transport les uns des autres…Il n’hésite pas aller à pied, faire des tests sur le terrain. « J’en ai conclu le principe fondateur du Pôle : les membres doivent se trouver à 3 stations de métro maximum les uns des autres. » Ce sont des entrepreneurs, des commerçants, artisans, créateurs d’entreprises ou encore demandeur d’emploi, souhaitant mieux se connaître et profiter des recommandations des uns et des autres.