peur de te
rencontrer, de t'écouter,
de te
comprendre
de te
ressembler et d'instinct te suivre
dans le plus
profond des "pourquoi"
dans le grand
désert qui est présent
dans le doute
qu'on revienne à la fiction
sincère
jusqu'au bout, à ne pas être crû
tellement vrais, à ne pas avoir plu
lorsque le
désordre est une compagnie
la solitude
est une maladie
alors que vivre
est une vraie chanson
peur que tu ai
encore raison
que tout ceux
qui est gris ne sera jamais bleu
peur qu'une
caresse parfois te fait trembler
le cerfs
volant va, est la, c'est toi
si haut
contre le ciel et puis en bas,
la médiocrité
ne le concerne pas
plus de
colère que regrets
peut on aimer
plus que ça
l'absence ne
justifie pas tes attaques
et puis de
toute cette liberté
un cerfs
volant ne sait que faire
si
l'impatience cassera ce fil
peur que ma
poésie ne revienne pas
tout le
courage toute l'ironie,
qui
essayera de boire à ton verre?
le cerfs
volant va, il est la, c'est toi
si haut
contre le ciel et puis en bas,
la médiocrité
ne t'atteint pas...
AngeloVerdi-29-12-2007
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire